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Cercle Gaïa 2050

4 août 2019

James Ephraim Lovelock, né le 26 juillet 1919 à Letchworth Garden City en Angleterre, a 100 ans !

 

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   James Ephraim Lovelock, né le 26 juillet 1919 à Letchworth Garden City en Angleterre a 100 ans !

  pionnier de l'écologie,  un scientifique hors du commun. 

James Lovelock est considéré, depuis les années 1960, comme l'un des principaux chefs de file idéologiques, si ce n'est le plus grand, de l'histoire de l'écologie.

Chercheur scientifique indépendant, écrivain, enseignant et Docteur Honoris Causa de plusieurs universités de réputation mondiale, il est l'inventeur sur le plan scientifique des capteurs des appareils de spectrométrie, ainsi que des instruments scientifiques ayant permis de détecter le DDT dans les glaces polaires et de suivre les variations du trou d'ozone. James Lovelock est, encore aujourd'hui, l'un des auteurs et chercheurs les plus réputés et les respectés dans ce domaine.

Il a écrit de nombreux livres dont les plus connus sont

" The Gaia Theory " (La théorie de Gaïa)

GAÏA - La terre est un être vivant

De concert avec le célèbre biologiste Lynn Margulis, James Lovelock a conçu une hypothèse scientifique permettant de considérer que les systèmes vivants de la terre appartiennent à une même entité régulant l'environnement de manière à préserver les conditions favorables à la vie : tel est le sens de l'hypothèse Gaïa, nom Grec de la déesse de la Terre.

Il s'agit de reposer la problématique de l'histoire de la vie et de la Terre. Notre "monde vivant", étonnante anomalie au regard de la planétologie comparée, ne forem-t-il pas un système, un "tout" comparable à un organisme auto-régulé dont il nous resterait à comprendre ce que Lovelock appelle la "géophysiologie" ?

L'hypothèse Gaia est maintenant considérée avec beaucoup de sérieux : il est devenu évident que la vie est affectée par l'environnement, mais qu'elle l'affecte aussi en retour, et souvent de manière à maintenir les conditions qui lui sont favorables.

" The Ages of Gaia " (Les âges de Gaïa),

livres dans lesquels il décrit la Terre, Gaïa, comme un être vivant capable de s'auto-réguler afin de maintenir à sa surface les conditions les plus propices à la vie, ainsi que 

Les livres de James LOVELOCK :

Les Ages de GAIA

Fascinante et controversée, l'hypothèse culte des écologistes (la Terre considérée comme le plus grand organisme vivant : Gaïa) est ici discutée par son inventeur même, James Lovelock, qui montre que notre planète a connu plusieurs âges correspondant à la prédominance d'espèces très différentes : d'abord les anaérobies, puis les aérobies (dont nous sommes) qui consomment de l'oxygène, poison violent pour les premiers.

Décrivant l'histoire de la Terre dans une perspective globale, Lovelock conclut à notre responsabilité : en trois siècles, l'humanité a davantage modifié le visage de la planète que l'évolution naturelle en des centaines de milliers d'années. S'il ne doute pas, cependant, que la Terre retrouvera un équilibre chamboulé aujourd'hui par l'activité industrielle, Lovelock suppose que ce pourrait être au prix de la disparition des hommes, dont le rêgne n'aurait représenté que l'un des âges de Gaïa...

James Lovelock est le célèbre auteur de l'Hypothèse Gaïa, dont la parution secoua le monde scientifique au début des années soixante-dix et qui rencontra un très grand succès auprès du public. 

Médecin, cybernéticien et biologiste, James Lovelock est un chercheur anglais indépendant.

Inventeur du "détecteur à capture d'électrons", il a été conseiller de la NASA dans les années soixante pour l'élaboration de différents programmes spatiaux.

Oxford University Press, Oxford, 2000

 

Hommage à GAIA - La vie d'un scientifique indépendant

L'autobiographie de James Lovelock.

"Hommage à GAÏA", son autobiographie dont l'édition anglaise est parue récemment en septembre 2000.

James Lovelock est favorable a une utilisation propre et respectueuse de l'environnement de l'énergie nucléaire :

lisez sa préface au livre "Le nucléaire avenir de l'écologie ?".

Il soutient l'Association des Écologistes Pour le Nucléaire (AEPN).

 

"Il est à la science ce que Gandhi était en politique.

Son idée centrale, que la planète se comporte comme un organisme vivant, est aussi radicale, profonde, et vaste par ses conséquences, que n'importe laquelle des idées de Gandhi."

New scientist.

"Son "Hypothèse de Gaia" est héroïque, avec un potentiel similaire à celui des théories de Galilée ou d'Eintein."

The Independant.

https://gaia2050.wordpress.com/2019/08/04/james-ephraim-lovelock-ne-le-26-juillet-1919-a-letchworth-garden-city-en-angleterre-a-100-ans/

https://fr.wikipedia.org/wiki/James_Lovelock

http://ecolo.org/lovelock/lovebiofr.htm

http://cerclegaia2050.canalblog.com/archives/2019/08/04/37542745.html

 

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29 mai 2019

Note qui traite de la pollution produite par l’être conscient :


https://www.youtube.com/watch?v=krjGqnzYjns&feature=youtu.be

 


 

Toute matière est destinée à se transformer dans une autre matière, lorsqu’elle n’est pas conservée telle qu’elle.

Ces transformations produisent des effets émergents qui ne survivent que le temps de l’existence de la nouvelle organisation de cette matière et détruisent ceux de l'organisation précédente.

La conscience humaine est l’émergence d’un phénomène qui ne perdure que tant que la forme de matière constituant le corps et ses organes conservent l'organisation qui est à son origine.

Bien que l’évolution des sciences dans ce domaine soit spectaculaire aujourd’hui, le procédé par lequel le conscient et le subconscient, donc le Moi, prend conscience de son existence et de son environnement, n’est pas connu, ni l'entité où se manifeste cette présence dans le corps humain.

Ce type de conscience associée à sa mémoire et à la représentation des phénomènes concrets, ainsi que celle d’entités abstraites est identique chez certains animaux évolués, et peut être aussi chez certains insectes, afin de leur assurer aussi les meilleures conditions de survie, ou de celle de leur lignée et de leur espèce.

Une partie de cette émergence psychique s’endort avec le sommeil, mais celle-ci disparaît dans son entier en fin de vie, sans laisser d'autres traces, que celles laissées par l’action du corps qu’elle a contrôlé et dont la matière sera recombinée dans le cycle de l’existence avec aussi, d’ailleurs, les déchets d'un nouveau type laissés par l’activité technologique des êtres humains, et dont la production s’accroît de façon exponentielle et inquiétante.

Ce qui nous indique qu’une explosion chimico-biologique extraordinaire va nécessairement se produire dans un temps très proche et mettre en péril la survie de " l'espèce supérieure" ou même celle de toute vie biologique.

Il est très possible que la planète connaisse une ère de retour à l’existence purement physique et abiotique, dans l’attente d’une nouvelle émergence de vie, qui serait favorisée par cette nouvelle matière, issue de l’existence de l’Homme, et de sa conscience.

La liste des ces substances domestiques polluante est sidérante :

Les matériaux radioactifs laissés dans les décharges des sites nucléaires et dans les mers, où ils se dispersent mais ne se détruisent pas, irradieront pour des millénaires les substances, et la vie biologique de la totalité de la planète.

Ces irradiations agissent sur le développement des génomes et provoquent la création de chimères.

Les êtres issus de cette soupe possèdent des constituants radioactifs aux conséquences probablement originales et inconnues à ce jour.

L'autre source de pollution principale est constituée par les gaz à effet de serres qui agissent sur le climat de la planète, comme le gaz carbonique et le méthane, ayant pour conséquence l'augmentation des niveaux des océans, les effets des courants océaniques sur les climats locaux, de la sécheresse des territoires et et insolation des cultures, et provoquent un effet amplificateur de production de ces mêmes gaz, dû à la fonte des glaces et du pergélisol, et entraînent la modification de la flore et de la faune ainsi que des effets sur les territoires et les populations fragiles.

Autre source de pollution, le plastiques, les substances chimiques et perturbateurs endocriniens déversés dans les océans, les rivières et les terrains agricoles qui accompagnent la destruction d’insectes ou d'autres espèces maritimes ou terrestres aujourd’hui, à très grande vitesse.

Une autre pollution humaine est la consommation sans retenue des énergies et substances non renouvelables comme le charbon et les hydrocarbures entraînant à cours terme une pénurie et un chaos économique et politique.

La pratique de l’élevage et cultures intensives qui détruisent les ressources géologiques naturelles renouvelables et qui sont poussées aux limites des capacités de la planète viennent amplifier le phénomène.

Les pénuries de matériaux et substances abondantes, comme le sable et l'eau, provoquée par une exploitation sans retenue, vient compléter les effets de la consommation d’énergie irraisonnée et des substances géologiques.

La bétonisation de sites, ne semble pas, aujourd’hui, pouvoir être considérée comme une pollution humaine grave en dehors de la pollution produite par la fabrication du béton, ainsi que pour les technologies numériques électroniques qui semblent bien adaptées pour favoriser une meilleure équité sociale, mais dont les matières premières sont limitées.

Il est remarquable de constater que ces sources de déchets, qui vont implacablement exterminées l’espèce humaine, n’est produite consciemment que par, et pour, une toute petite partie de l’humanité.

Le reste des êtres humains, « les plus  évolués », n’étant utilisés que pour le bien être de cette petite partie grâce à la volonté même, inconsciente, de ce « reste évolué », qui se satisfait des miettes perdues par cette petite partie de l’humanité, car elle ne sait pas, et elle ne comprends pas, elle n’a pas la capacité car elle n'a pas les aptitudes de le lui permettre, de comprendre ce phénomène, qui s’est développé à son insu, et dont ces éducateurs n'ont pas, non plus, conscience, et aussi, parce que la vie naturelle, que les autres « non évolués » ont conservée, ne les enchante pas, dans l’attente, que ces autres « non évolués » viennent, eux-même réclamer leurs droits à évoluer, venant ainsi amplifié le chaos final.

La multiplication de l’auto-création de cercles locaux de pensée libre sur le comportement humain, constitués de dix à vingt personnes permettrait, peut être, de constituer une forme de réponse et un soutien psychologique et philosophique interactif, adapté aux personnes ayant conscience de la gravité du phénomène, et d’autre part, de réfléchir à un comportement individuel adapté et serin.

 

en cours de réflexion,

Note pour moi-même, lu par Panopreté basic, mai 2019, Gaïa2050.

 

 

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